Historique - Le secret qui traverse les âges
Le mystère des pouvoirs de Sainte Rita :
Sainte Rita, Sainte des causes désespérées, doit cette vertu aux nombreuses guérisons qu’elle a opérées et à
l’amélioration miraculeuse de situations impossibles que des visiteurs venaient lui confier dans son couvent.
Au moment de sa mort et durant plusieurs jours, une odeur de rose emplit son cloître. Il est dit que lorsque des
prières lui étant adressées, sont exaucées, des odeurs de roses se répandent encore de son corps exposé(intact depuis six cents ans).
Le secret révélé d’un élixir salutaire La légende raconte que c’est de son vivant (au XVème siècle) qu’un élixir aux grandes vertus curatives a vu le jour dans la région du couvent où elle résidait, à Cascia (Italie). Les herboristes et apothicaires se sont transmis la recette de maître à élève avec la recommandation de la prescrire lorsque rien d’autre n’avait pu venir à bout d’une maladie en dernier espoir. C’est un Dr en Pharmacie de Lyon, l’herboriste Patrice de BONNEVAL, qui a choisi de divulguer la recette qu’il avait reçue de son maître.Depuis 1985, il élabore et distribue l’Eau de Sainte Rita dans le respect de la tradition ancestrale ininterrompue. La formule ce merveilleux élixir est inchangé depuis le XVème siècle. Les richesses de l’Eau de Sainte Rita L’HERITAGE universel, l’élixir aux richesses ancestrales flacon 250 ml aux plantes bio Une source de légèreté pour atteindre l’harmonie et la douceurUne recette ancestrale : Les herboristes se sont transmis oralement la formule de l’élixir depuis l’époque de Sainte Rita au XVème siècle, avec la recommandation de la prescrire lorsque rien d’autre n’avait pu venir à bout d’une maladie, en dernier espoir. Grâce à Patrice de Bonneval, herboriste à Lyon, cet élixir a pu continuer à vivre et à nous servir. Les connaissances actuelles permettent maintenant de comprendre que l’action des plantes qui le compose n’est pas «miraculeuse». Chaque composant est choisi et dosé de façon à ce que son action s’harmonise, se complète et se «synergise» avec celle des plantes qui l’accompagnent. Outre l’efficacité de ses produits naturels, l’Eau de Sainte Rita agit directement sur les énergies qui animent le corps humain. Légèreté, harmonie et douceur : L’Eau de Sainte Rita s’intègre dans un programme harmonisant en 2 phases : 1- Source de légèreté : pour alléger l’organisme des accumulations du quotidien 2 - Harmonie et douceur : pour un équilibre prolongé Sa formule permet son utilisation par les enfants de plus de 7 ans et les adolescents (puberté, angoisses, stress scolaire, familial …). Les conseils de Sainte Rita : Adultes : 1 cuillère à café dans un verre d’eau avant les 3 principaux repas, en programme de 1 mois à renouveler. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée. Ne se substitue pas à un régime alimentaire varié et équilibré ainsi qu’à un mode de vide sain. Tenir hors de portée des enfants. Contre-indication : aucune connue à ce jour sous réserve d’une bonne utilisation et sauf allergie à un des ingrédients. Ne pas utiliser chez la femme enceinte ou allaitante et les enfants de moins de 12 ans. Ne pas utiliser en cas d’insuffisance rénale. Ne pas utiliser de manière prolongée (maximum 6 semaines) Quelles plantes trouve-t-on dans l’eau de sainte Rita ? Angélique = 546 mg : Angelica archangelica. Plante essentielle de la préparation. La légende dit qu’un ange l’aurait indiqué comme remède contre la peste. C’est une plante tonique , amère, destinée à faciliter la digestion et à soulager les troubles digestifs. Antispasmodique, elle donne de bons résultats dans le traitement de la dyspepsie et du syndrome de l’intestin irritable. Paracelse raconte qu’elle fut un médicament merveilleux contre l’épidémie de peste à milan en 1510. Cholagogue, elle favorise l’écoulement de la bile, soigne l’aérophagie et les ballonnements. L’angélique est stimulante et expectorante. On lui reconnaît des propriétés sudorifiques, emménagogues, carminatives. Elle a des effets salutaires sur les affections respiratoires, les bronchites, les pneumonies, l’asthme… Genièvre = 546 mg : Juniperus communis. Son emploi remonte à l’Égypte antique où il était utilisé comme digestif et contre les parasites intestinaux. On l’utilise pour soigner les maladies rhumatismales, la goutte, l’arthrite. Antiseptique urinaire, diurétique, antiinflammatoire et stomachique. Il facilite la digestion, notamment des plats gras, choux et haricots. Il abaisse le taux de glucose sanguin. Il facilite l’accouchement en stimulant l’utérus . Il a toujours la réputation de protéger les personnes qui souffrent : il est raconté que la Vierge Marie cacha l’Enfant Jésus dans un genévrier pour qu’il échappe aux soldats romains et au Moyen-Âge, on accrochait des branches aux portes pour se protéger des sorcières. Encens 54mg et myrrhe 54mg : Sécrétions résineuses d’arbustes qui poussent au sud de la Péninsule arabique et en Somalie. Le mot encens vient du latin ecclésiastique « incensum » (qui est brûlé) et fait référence à l’oliban. La myrrhe est produite par le commiphora myrrha sous forme d’un suc solidifié en forme de grosses larmes. La myrrhe tirerait son nom de Myrrha, fille de Cinyras, roi de Chypre changée en arbre par les dieux pour avoir commis un inceste et ses pleurs constituent la myrrhe. En Égypte la myrrhe et l’encens servaient à la momification. La myrrhe et l’encens faisaient partie des cadeaux apportés par les rois mages à Jésus nouveau-né. L’acore odorant : Calamus. C’est une plante apéritive dont seuls les rhizomes sont employés. Stimulant nerveux, antirhumatismal, digestif, expectorant, dépuratif, décongestionnant des sinus et diurétique, il est utilisé en médecine ayurvédique ou chinoise . Les Tartares s’en servaient pour assainir leur eau et les Chinois éloigner les punaises. Il est déjà mentionné dans des textes égyptiens de l’antiquité sous le nom de « roseau sacré ». Cannelle : Cinnamonum verum ou zeylanicum. Originaire de Ceylan. Elle est utilisée depuis l’Antiquité par les médecines ayurvédiques et chinoises. D’abord réservée aux riches, à la Renaissance elle figurait dans la moitié des recettes !Elle Stimule le système immunitaire, elle est anti-inflammatoire, antioxydante, antibactérienne à large spectre, antiseptique, antifongique , participe à la prévention des tumeurs, antirhumatismale, anticoagulante. Elle faisait partie des premières épices ramenées en Europe comme le curcuma, le gingembre, (la vanille). Gingembre : Zingiber officinale. Originaire de l’Inde orientale, il se trouvait facilement aux environ de Zingi, de Ceylan, et de la Jamaïque. Au Moyen-Âge il était prescrit comme antihystérique et pour préserver de la peste. On lui reconnaît des propriétés apéritives, stomachiques, carminatives, fébrifuges, et aphrodisiaques. Les Chinois l’utilisent comme antirhumatismal et antidote aux empoisonnements par les crustacés. Fenouil doux : Foeniculum dulce. Depuis l’antiquité le fenouil est reconnu pour son action bénéfique sur les digestions lentes, l’aérophagie. Il est antispasmodique pour hépatiques et calme les coliques des nourrissons. Les troubles de la vésicule et les affections des reins. Menthe poivrée : Mentha piperita ou menthe anglaise. Les Assyriens et les Babyloniens s’en servaient déjà pour faciliter les digestions lentes, les Romains aromatisaient les sauces et vins avec la menthe. En infusion elle stimule estomac, vésicule et intestin. Elle tonifie le système nerveux et peut même empêcher de dormir. Elle est antalgique pour les ulcères, les coliques hépatiques et néphrétiques. Citron : Citrus medica – citrus lemonum. Originaire d’Iran, de Médie. On l’appelait aussi pomme médique. Néron en consommait beaucoup comme antidote des poisons. On utilise encore le jus sur les huîtres pour neutraliser les bactéries. L’écorce, zeste du citron, contient une huile essentielle antiseptique, bactéricide, dépuratif, tonique du système veineux et nerveux, cicatrisant. Romarin : Rosmarinus officinalis. Au temps des Romains, c’est déjà une herbe sacrée. C’est un bon stimulant pour les personnes surmenées, les digestions difficiles les fermentations intestinales, les infections hépatiques. L’Eau de Hongrie, alcoolat de romarin élaboré en 1370, 10 ans avant la naissance de Ste Rita pour l’épouse du roi Charles Robert de Hongrie, Élisabeth. Elle était utilisée à la cour de France au XIVe siècle et perdura jusqu’à Napoléon comme parfum et thérapeutique. Aloes Vera : Connu depuis l’Antiquité comme apéritif et stimulant des estomacs paresseux. Il est recommandé en cas de constipations opiniâtres, de congestion du foie et comme antiseptique intestinal. Vanille : Vanilla. Était-elle dans la 1re composition ? Les Espagnols ont découvert la vanille lors de la conquête de l’Amérique Centrale au XVIe siècle et la première mention figure dans le codex de Florence de 1552 bien après le décès de sainte Rita. Safran : (Crocus sativus). Cultivé depuis très longtemps dans le Vaucluse et le Gatinais pour la France, mais aussi en Italie et en Espagne, Homère le citait comme parfum et aromate. Il était très prisé des Romains et des Grecs. Propriétés stomachiques, emménagogues, stimulantes et aphrodisiaques. Camphre : Cinnanomun camphora. En médecine on reconnaît ses propriétés antiseptiques et légèrement anesthésiques. Le Camphre est issu de la distillation des branches, feuilles et écorces du camphrier. C’est un stimulant des corticosurrénales, il aide à combattre les maladies infectieuses. Antalgique et antiseptique, il est aussi calmant des douleurs musculaires, stimulant du système nerveux et anti-inflammatoire
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